Informations municipales : d’un Bulletin… à un Numéro… sans Brio. (2/5 )

2/5  – Trois ans d’écrits et de recommandations d’Ô FAIT HUBERT, dix sept mois de Brainstorming et deux feuilles de chou… ont porté sur les fonts baptismaux le VIVRE À FESTUBERT ( VAF ).
Glissé dans nos boîtes aux lettres en toute fin du mois d’octobre dernier, ce nouveau support informatif est dans le ton de la saison. Aux sympathiques couleurs d’Automne, sa première de « couv » est dédiée à l’école communale Clémence Quinio. Ce zoom rend malheureusement « invisible » la vignette « QR Code », seule vraie nouveauté de cette publication.
Au final vingt pages bien pâles dans leur contenu qui feraient presque regretter ( oups ) le précédent Bulletin Officiel d’Informations
( municipal )… Hubert livre ici l’exploration d’un média « glacé », en décalage avec la temporalité du moment. Comme si son élaboration était le résultat d’un travail en « pointillé », avec plusieurs « pauses » sur un coin du bureau… Une sorte de « patate chaude » récupérée par un duo pas forcément bien préparé à pareille mission. Dès lors une question se pose : la 1ère Adjointe déléguée à la Com’ aurait-elle perdu cette délégation « à l’insu de son plein gré »…?

La page 3 de ce numéro municipal, est essentiellement consacrée à l’ÉDITO du Maire. Contrairement à son habitude, il abandonne le médaillon d’un élu studieux au milieu d’un mobilier « vintage ». Il entame son propos d’un « Mesdames, messieurs, » qui ôte toute proximité avec les Festubertines et Festubertins.
Les huit paragraphes de son expression « zigzaguent » dans une temporalité gigogne, couvrant un quadrimestre courant de septembre à la fin de l’année en cours. Le maire y exprime même une certaine nostalgie de l’été écoulé, en faisant référence à notre côte d’Opale, qui sonne comme une invitation…

Cet édito, comme à l’accoutumée, est le marchepied de la promotion des actions visibles de la gouvernance municipale. Outre le Forum des Associations et la citation non exhaustive des participants, le maire cherche toujours à se convaincre de l’optimisation de la salle de sports ( en fait polyvalente ).
En effet miroir de la « page de couv. », il consacre de longs développements à l’installation du modulaire à l’école communale Clémence QUINIO. Il motive la nature de cette construction par son urgence et salue au passage le SIVOM du Béthunois qui est manifestement dans ses « petits papiers » depuis un peu plus d’un an.
Est-ce le tropisme de cet été évoqué dans son propos introductif qui a égaré le rédacteur ? Toujours est-il qu’il en vient à qualifier la classe modulaire de « BUNGALOW » ( après le terme de « provisoire » par l’Adjointe déléguée à l’école lors du conseil municipal de juin dernier – oups )… Au-delà des panneaux solaires, ne manquerait-il que le sable chaud pour en faire un lieu idyllique déjà jalousement observé par nombre de ses collègues ?… La réalité est malheureusement plus crue, à entendre ici ou là des points de vue plus nuancés.

Après quelques mots bien sobres sur le chantier de notre Belle Dame l’Église, il actionne la petite corde nostalgique de notre « petite épicerie », la série de Mickael Landon l’ayant sans doute marqué… En revanche pas un mot sur notre « petite boulangerie-pâtisserie » abandonnée par la gouvernance municipale…

En oubliant que les feuilles d’impôts fonciers ( et de taxe d’habitation sur les résidences secondaires ), sont tombées dans les boîtes aux lettres ou mail à la fin du mois d’août dernier, il appelle l’attention du lecteur sur la variation des taux communaux. Il ne résiste pas à la délivrance d’une amabilité en direction de ses collègues maires qui, à une quasi unanimité, ne sont pas tombés dans cette démagogie fiscale.

Un Édito sans fil conducteur, sans colonne vertébrale qui finalement est à l’égal de ce nouveau « numéro » municipal. Pas étonnant dès lors que ce VIVRE À FESTUBERT, orphelin de Directeur de la Publication, n’ait pas la facture d’un NUMÉRO NOUVEAU

À suivre