Informations municipales : d’un Bulletin… à un Numéro… sans Brio. (1/5 )

1/5  – Trois ans d’écrits et de recommandations d’Ô FAIT HUBERT, dix sept mois de Brainstorming et deux feuilles de chou… ont porté sur les fonts baptismaux le VIVRE À FESTUBERT ( VAF ).
Glissé dans nos boîtes aux lettres en toute fin du mois d’octobre dernier, ce nouveau support informatif est dans le ton de la saison. Aux sympathiques couleurs d’Automne, sa première de « couv » est dédiée à l’école communale Clémence Quinio. Ce zoom rend malheureusement « invisible » la vignette « QR Code », seule vraie nouveauté de cette publication.
Au final vingt pages bien pâles dans leur contenu qui feraient presque regretter ( oups ) le précédent Bulletin Officiel d’Informations
( municipal )… Hubert livre ici l’exploration d’un média « glacé », en décalage avec la temporalité du moment. Comme si son élaboration était le résultat d’un travail en « pointillé », avec plusieurs « pauses » sur un coin du bureau… Une sorte de « patate chaude » récupérée par un duo pas forcément bien préparé à pareille mission. Dès lors une question se pose : la 1ère Adjointe déléguée à la Com’ aurait-elle perdu cette délégation « à l’insu de son plein gré »…?

Il n’est jamais facile de construire un ouvrage à partir d’une page blanche, la tentation de la copie étant si forte. C’est finalement le travers dans lequel la nouvelle équipe rédactionnelle est tombée.
Ce n’est pourtant pas le temps qui a manqué puisque dix sept mois séparent ce nouveau numéro ( réf. pied de la dernière page )  VIVRE A FESTUBERT ( VAF ) de feu le Bulletin Officiel d’Informations ( BOI ) distribué le 09 juin 2022. A leur décharge, les deux feuilles de chou intermédiaires des 18 janvier et 20 juin 2023 n’ont guère dessiné une ligne éditoriale inspirante et novatrice.
Outre la bannière supérieure, l’illustration de la « première de couv' » ressort de la photothèque municipale de l’hiver dernier. On y découvre l’ensemble immobilier dédié à l’école élémentaire communale figé non seulement par le givre mais aussi par les pixels numériques déclenchés du haut de l’église Notre-Dame ( sur le coup de 11 heures sans doute ).
Cette image noyée dans l’ombre du beffroi et de son campanile corsetés d’acier, permet finalement de voir l’INATTENDU. Une cour d’école minéralisée à 100%, un terrain de football désert depuis plus d’une décennie et une drève qui ne dit pas son nom et qui finit en « cul de sac » tout en ouvrant le chemin de tous les possibles… Comme si la gouvernance municipale s’était appropriée la vision ( Cœur de Village ) d’Ô FAIT HUBERT lors de la dernière révision du Plan Local d’Urbanisme intercommunal ( PLUi )…

Si bien que l’objet de l’annonce en « fanfare » de l’installation d’un modulaire à l’école est absent du cliché… sauf à se reporter à la page 12 où l’on retrouve six photos qui ne livrent aucune vue d’ensemble permettant d’apprécier l’intégration de celui-ci à l’école « historique ».

En revanche, il faut saluer l’initiative de l’équipe rédactionnelle relativement à l’inauguration du « QR Code » même si celui-ci méritait davantage de visibilité. Une vraie avancée numérique encore embryonnaire certes, mais qui ouvre le champ de toutes les audaces. Au simple lien initiatique ( sans grand intérêt ) sur le Site Internet de la commune de Festubert, Hubert imagine déjà une pluralité de sources d’information sous forme de Podcasts, Interviews, Sondages, Photothèque, Vidéos YouTube… C’est la VRAIE NOUVEAUTÉ de ce numéro ( 1 ) de VIVRE À FESTUBERT. La commune a ici posé le pied sur le seuil de la COMMUNICATION INTERACTIVE ! Bravo !!!

Quant au contenu, sur lequel Hubert reviendra dans de prochaines publications, un rapide survol de ce NUMÉRO laisse entrevoir un Édito Fleuve, un album photos copieux mais plus de Trombinoscope des élus, des vignettes publicitaires à foison, une cartographie qui en mériterait d’autres… un calendrier d’activités « mort-né »… et des absence remarquées : la boulangerie-pâtisserie communale… ainsi que l’espace réservé à l’expression de la minorité municipale. Plus remarquable encore, la déclinaison de l’équipe rédactionnelle, de l’imprimeur… mais sans aller pour autant jusqu’à « l’OURS » ( encadré indiquant le Directeur de la publication, le dépôt légal, nombre de tirages… ). Sur ce dernier point, Ô FAIT HUBERT a aussi été entendu mais encore trop partiellement.

Quelques minces progrès donc ( en dehors du QR Code ) mais encore trop de faiblesses de forme et de fond. Hubert y reviendra bien évidemment et rappelle ici sa disponibilité pour prêter main forte à l’équipe rédactionnelle.

À suivre