Conseil Municipal du 16 décembre 2024 : un épilogue pathétique d’un Administrateur en mode Good cop Bad cop… 1/ …

1/  – Il n’est pas banal qu’un Président de Séance de Conseil Municipal soit l’HÔTE de sept de ses collègues. C’est pourtant bien le cas depuis que celui-ci est en permanence « hors les murs » de la commune. Ce déplacement sur Festubert ne l’aura pas retenu trop longtemps puisque la séance aura duré une petite heure pour treize points à l’ordre du jour.
Mais surtout, au terme de cette séquence et micros éteints, notre Administrateur s’est lancé dans une attaque AD PERSONAM en direction de votre serviteur, sous l’œil vengeur de son petit cercle rapproché. Une SAILLIE et une menace qui ne grandissent guère celui qui a fait le choix de l’EXIL depuis l’été dernier. Une question reste néanmoins pendante après la trêve des confiseurs : notre Administrateur mettra-t-il ses menaces à exécution ?

C’est bien à une ÉPANADIPLOSE à laquelle s’est livré, à son insu, notre Administrateur communal. Hors micros et caméra et en dehors du temps de séance délibérative, notre HÔTE s’est laissé aller d’abord à quelque « lourdeur » avec la 1ère Adjointe en caution, comme une première « démonstration de force » en direction d’Hubert, tout occupé à  la mise en place de son matériel de retransmission ( page Facebook ). C’est cinquante neuf minutes plus tard, après des signes évidents d’agacement, d’énervement, d’impatience même… que notre HÔTE du soir s’en est violemment pris verbalement à Hubert.
Un index pointé dans sa direction, le verbe « écrasé », l’œil mauvais… il lui a porté une lourde accusation. Celle d’avoir porté atteinte à sa VIE PRIVÉE et ce, en faisant référence à un « post » assorti d’une supposée photographie le montrant sandwich à la main… au terme d’une réunion communautaire ( CABBALR ).
Non content de cette saillie, il va même jusqu’à empêcher Hubert de répondre à son agression, au motif d’une impossibilité de parole en séance du Conseil Municipal ( sic )…  Il le menace même d’une action en justice par l’intermédiaire de SON AVOCAT. Hubert ne développera pas plus avant cet épisode pitoyable qui ne fait pas honneur à notre village. À ce jour, ni Citation Directe, ni Assignation… en direction d’Hubert. Notre Administrateur ne serait-il qu’un « Zhï Läohü » ? A moins qu’il attende la Cérémonie des Vœux de ce 11 janvier pour rendre publiques ses intentions ?

Après ce qui ressemble à un « Préquel », Hubert entame ici le déroulé de ce Conseil Municipal du 16 décembre 2024. Un quorum tout juste atteint ( 8 présents sur 15 ) pour ce quatrième et dernier Conseil Municipal de l’année 2024. Parmi la douzaine de points à l’ordre du jour, ceux dédiés à la mise en œuvre de la VIDÉOPROTECTION sur le territoire communal est assurément le plus emblématique.
Cette question a été découpée inutilement en trois textes délibératifs distincts. La première a trait au transfert de la compétence correspondante ( une de plus aux 17 déjà transférées ) au SIVOM ( Syndicat Intercommunal à Vocation Multiple ) du Béthunois. A peine plus de cinq lignes de texte pour transférer mission « allégorique » à cette Interco., présentée à tort, sous l’angle de l’EXTENSION des équipements déjà en place.
C’est l’Adjoint délégué à la Tranquillité Publique qui présente logiquement cette affaire. Bien préparé, il cite les rues et entrées de territoire qui seront équipées de caméras 360°. De l’exposé ressort que seules deux personnes auront accès au visionnage : l’Administrateur communal et un collaborateur municipal. Une question se pose d’emblée quant à l’Administrateur. Eu égard à l’éloignement permanent de la commune de celui-ci ( le Maire ), quels sont les moyens techniques mis en œuvre pour cette « Télésurveillance » ?  Quelle en est la plus-value correspondante?

Comme souvent dans pareil scénario, l’Administrateur s’empresse de préciser qu’il ne s’agit pas de « Fliquer » la population mais d’une sécurisation des Espaces Publics… Comme une pondération, cette déclaration est en réalité un UNDERSTATEMENT, au regard notamment des déclarations ( Chaîne Wéo ) de celui qui allait quitter Festubert trois mois plus tard : « … oui, on est PÉNARD à Festubert« .

Les débats permettent de savoir que les quelques matériels de vidéoprotection déjà en place ( salle de sports, salle des Fêtes… ) sont obsolètes ( oups ) et que par ailleurs ils sont inopérants la nuit ( oups ). L’Administrateur indique que l’ensemble du matériel sera remplacé, ce qui revient à reconnaître qu’il ne s’agit nullement d’une extension de dispositif mais bien de la mise en œuvre d’une nouvelle et complète installation. Celle-ci en coûtera la bagatelle de 60 000 € ( HT ou TTC ? ) pour une vingtaine de caméras ( quel type ? ), serveur et câblage du réseau en fibre optique ( aérien ? ).
Il n’est pas encore question de Centre de Supervision ( visionnage en direct ). Subventionnable, cette opération devrait être financée à hauteur de 50% du montant HT ( Etat, Région HdeF… ). L’achat des matériels correspondants se fera par l’intermédiaire d’un Groupement d’Achats ( ce qui est intelligent ) porté par le SIVOM du Béthunois.
L’inventaire de la vingtaine de caméras pré-positionnées sur le territoire laisse entrevoir de premières failles dans le dispositif. Celles-ci sont soulevées par l’Adjoint aux Travaux qui ne semble pas vraiment avoir été associé au dossier… Il évoque les rues des Cailloux ( carrefour avec Sèche rue ), de Béthune ( carrefour avec rue de la Veine ) … Une remarque prise en  compte semble -t-il, puisque la 1ère Adjointe croit utile de dire « … que l’on est pas à une caméra près…« . Autrement dit, surveillance pour surveillance, autant que « personne » ne passe entre les fines mailles de la « Télévigilance » municipale…

Dans la prochaine publication, Hubert reviendra sur cette question qui n’a fait l’objet d’aucune Information Préalable ( Revue Municipale « On est pénard à Festubert » ) d’aucun DÉBAT PUBLIC, d’autant que ce dispositif n’apparaît pas au programme 2020/2026 de l’Administrateur communal alors candidat… Par ailleurs qu’adviendra-t-il du dispositif « Voisins Vigilants »… ? Sera également évoquée la singularité d’une mise en œuvre avant le transfert de compétence autorisé par le Préfet du Pas de Calais qui n’interviendra que d’ici quelques mois…

À suivre….