Conseil municipal du 16 avril 2024: une séance TGV … et un passager sans Ticket soucieux de son @mage…1/…

1/  – Après avoir manqué le train délibératif quatre jours auparavant, les quelque six conseillers municipaux qui se sont retrouvés pour cette nouvelle séance du 16 avril 2024 ne sont pas restés à quai.
La maigreur des effectifs leur a permis de monter dans la même voiture, élus comme assistant mais devant néanmoins partager les banquettes avec deux vis-à-vis abonnés de longue date. Quant aux bagages administratifs, réduits au strict minimum, ceux-ci ont été embarqués en bloc, évitant ainsi de s’acquitter de toute consigne superflue.
Pour ce court trajet, l’opérateur a prévu un petit jeu d’aiguillages, de sorte que les passagers ne sombrent pas dans l’ennui. Ce même opérateur a été amené à quitter la voiture délibérative mais sans avoir le temps de rejoindre le buffet. Quatre des passagers, sans doute dotés d’un ticket de 1ère classe, ont eu le droit de parole, indépendamment de leur position dans l’organisation municipale. Un des passagers particulièrement sourcilleux, a évité de se placer près de la fenêtre, pour éviter toute indélicatesse quant à son @mage. Une coquetterie que se réservent en général les célébrités et personnes influentes… Au-delà de sa Très Grande Vitesse (TGV), en vérité ce convoi municipal ressemblait étrangement au TRAIN de la PEUR.

Ô FAIT HUBERT serait-il redouté à ce point par l’équipe municipale pour en arriver à bâcler une séance du conseil municipal en moins de 30 minutes, malgré un ordre du jour fort chargé?  Ou est-ce pour une raison endogène dont l’observateur peut en deviner l’origine malgré les faibles signaux opportunément perceptibles? La première hypothèse ne fait plus aucun doute au regard de la déclaration de la 1ère Adjointe lors du pénultième conseil municipal (18 mars 2024). A tel point qu’après avoir voulu faire taire ce trublion d’HUBERT, nous assistons depuis quelque temps déjà à un renversement de « stratégie ».

Puisqu’Ô FAIT HUBERT ne se tait pas après trois dépôts de plainte, le défaut du respect des règles dans l’information des citoyens, l’absence de civilité, l’opposition à tout partenariat et concours financier… et autres « coups tordus » (« conflit d’agendas » pour réservation de salle municipale…), la gouvernance municipale fait désormais le choix du mutisme XXL. A un point tel qu’elle en oublie, outre le  débat démocratique, les règles les plus élémentaires de transparence. Pour s’en convaincre, il suffit de se reporter au point 8° de l’ordre du jour de ce conseil municipal et sur lequel Hubert reviendra en détail dans une prochaine publication. Un vote en bloc des subventions, sans aucune motivation de leur octroi ou non mais surtout avec la participation au scrutin, d’élus en charge de responsabilités (Présidence, Secrétariat) d’Associations subventionnées… Comme si la Très Grande Vitesse engendrait elle aussi, l’IVRESSE déontologique.

Autre singularité de cette séance « TGV », la présentation des délibérations « jeunesse » (tarifs centres de loisirs et colonies de vacances) par un assistant municipal. Les élus présents ont du apprécier cette indigence supposée, au point de ne pas être en capacité d’assurer le « tuilage » de leur collègue Adjointe absente (et excusée). Un marqueur supplémentaire dans l’organisation municipale en « tuyaux d’orgue » qui empêche semble-t-il, toute perméabilité entre les différentes matières, déléguées ou non.
L’autre point d’orgue de cette affaire, a trait à la « COQUETTERIE » de cet assistant. En préambule de sa « virile » mais fébrile intervention, cette dernière tient au fait que celui-ci a revendiqué « haut et fort », en tant que « non élu » (le propos est ici adapté pour le lecteur – oups…), le respect de son droit à l’@mage (oups). Tentant de faire preuve d’autorité et même d’autoritarisme, en lieu et place du Président de séance (le Maire) en charge de la « police » de l’Assemblée, il a sommé Ô FAIT HUBERT de ne pas faire apparaître sa personne lors du direct « Facebook » (le temps de son intervention délibérative).
Au-delà de cette « injonction », Hubert a évidemment épargné ses « Followers » de ces traits crispés et quelque peu anxiogènes…  Ce voyageur n’a même pas pensé qu’il avait la possibilité de tourner son regard vers l’issue de secours de la voiture… Inutile ici de développer les points de droit à l’@mage applicables dans pareilles situations. En revanche Hubert renvoie ce « voyageur du soir » à ses contradictions et au droit à l’@mage qui ne saurait être à géométrie variable.
Hubert n’ira  pas plus loin dans l’analyse tant les acteurs ont « déraillé ».  Cette « cène » n’est pas sans rappeler le film « BULLET TRAIN » (03/08/2022 de David Leitch), mais le talent en moins…

 

A Suivre…