Festubert bien représenté au Conseil de Développement de la CABBALR

Instance de concertation et de débat au sein de la Communauté d’Agglomération Béthune-Bruay, Artois Lys Romane ( CABBALR ), le Conseil de Développement compte un peu moins de 80 membres – issus de la société civile – répartis en 5 collèges.

Organisme consultatif ( émet des AVIS ), le Conseil de développement a pour objet de favoriser le dialogue et la concertation avec les acteurs de la vie et du territoire communautaire ( 100 communes – 280 000 habitants ). Il sera étroitement associé à la construction (en cours) du projet de territoire communautaire( 2022/2030 ).

La commune de Festubert compte désormais deux CITOYENS au sein de deux commissions :

      • Collège « Vie collective, familiale et Associative………….   Marie Catherine MOTTE
      • Collège « Habitants » ……………………………………………………..   Bruno DUBOIS

Celles et ceux qui souhaitent entrer en contact avec ces deux représentants ( bénévoles ), peuvent le faire au moyen de la « boîte contact » de Ô FAIT HUBERT.

Un bel outil démocratique qui ne demande qu’à être dupliqué au niveau communal… Rien de bien compliqué : tout est affaire de volonté.

NON FESTUBERT N’EST PAS DANS LE MONDE DES BISOUNOURS… OU LE SYNDROME DE CALIMERO…

Pas content le maire de Festubert : au mois de décembre dernier il a pris son dossier sous le bras ( des dizaines et des dizaines de copies – il ne regarde pas à la dépense ) pour saisir les services de la police nationale et le procureur de la république.
Motif ? Un concitoyen
( l’hologramme d’Hubert ) l’excède par ses nombreux courriers, saisines de la CADA ( Commission d’Accès aux Documents Administratifs ) et du tribunal administratif Qu’il est vilain ce concitoyen qui lui donne beaucoup de fils à retordre ! Il évoque même le harcèlement sauf que le harcèlement administratif n’existe pas A moins que ce soit moral ? Mais sans oser porter plainte : s’agirait-il d’un tigre de papier ?

Le maire traverse-t-il un temps de dépression ou est-il sur le registre de l’intimidation ? Ou les deux à la fois ? Hubert quant à lui, reste ZEN.

Hubert profite de cette « chronique judiciaire » pour rappeler ce bon vieux principe : « NEMO AUDITUR PROPRIAM TURPITUDINEM ALLEGANS! » (NUL NE PEUT SE PRÉVALOIR DE SA PROPRE TURPITUDE… ).