Bulletin Officiel d’Information – Avril 2021 … ou qui a vu l’OURS? ( 1/2 )

Ces derniers jours, la Municipalité de Festubert a glissé dans nos boîtes aux lettres, la livraison de son Bulletin Officiel d’Information  ( trimestriel ) – Avril 2021. Composé de 12 pages ( elles sont désormais numérotées ) sur papier « glacé » ( toujours ! ), cette dernière édition est plus sobre quant à la valorisation de l’image des élus municipaux : en cela la Municipalité tient compte des observations d’Hubert. En revanche aucune place pour l’expression des élus qui n’appartiennent pas à la majorité municipale.
Quant à « l’OURS » … on ne le voit toujours pas ! On ne voit pas davantage les comptes et budgets communaux ni les décisions du conseil municipal en ligne sur le site Internet de la Ville…
trois semaines après le conseil !

Hubert ne s’attardera pas ici sur la maigreur de son contenu même s’il a quelque peu progressé ( à la marge ). Il souffre toujours d’une grave insuffisance démocratique que ne sauraient masquer les nombreuses illustrations et autres redondances…

Aucune place n’est réservée à l’expression des élus qui n’appartiennent pas à la majorité municipale alors qu’il s’agit d’une obligation qui s’impose désormais (depuis 2020 aux communes de plus de 1 000 habitants. A la « Voix de son Maire« , Hubert préférerait une pluralité de regards sur l’action municipale et le travail du conseil municipal ( et des commissions ) et ce, tant dans le bulletin « officiel » que sur le site Internet et la page Facebook… d’autant que cette dernière compte semble-t-il beaucoup d’abonnés et de « publications » ( en fait du copié/collé ) quotidiennes…

Quant à l’OURSencadré obligatoire dans toute publication – on le cherche toujours. Là encore, un gros déficit d’obligations légales ayant trait à la diffusion du Directeur de la Publication ( le Maire ), le Directeur de la rédaction ( l’élu(e) en charge de la communication ? ), la date de dépôt légal, le nombre d’exemplaires édités… et autre ISSN. Encore un domaine où la mairie fait bien peu de cas de ses obligations …