Lieux d’aisances communaux : la municipalité s’assied dessus…

A l’occasion des deux dernières publications faisant état d’un dialogue « rompu » entre le maire, l’adjointe déléguée aux affaires scolaires et des parents d’élèves de l’école publique Quinio, Hubert a « mis le doigt » sur une problématique récurrente à Festubert : les LIEUX D’AISANCES. Ceux-ci sont l’objet d’une malheureuse négligence municipale alors que bon nombre de demandes témoignent du sérieux du sujet.

Pour l’école, la revendication de parents d’élèves a trait à l’obsolescence des toilettes scolaires. Ecoulements défaillants, nombre insuffisant… obligent semble-t-il la municipalité à reconstruire un « bloc sanitaire » neuf. Le maire et l’adjointe déléguée aux affaires scolaires ont engagé une réflexion sur ce sujet mais ont quelque difficulté à arrêter le positionnement. Il est vrai que des toilettes à roulettes permettraient de contourner l’obstacle… à moins qu’un comité « Théodule » travaille sur des toilettes « à la turque », des cuvettes dédiées ou non à la miction… En toute hypothèse,  cette problématique ne se règle pas « du jour au lendemain » à Festubert…

D’autres demandes sont également restées des « papiers » sans lendemain.

L’installation de toilettes publiques à proximité de (ou dans) l’église NOTRE-DAME. Les travaux de rénovation de cette dernière peuvent être une belle occasion d’y intégrer ce type d’équipement. Le rappel de cette demande citoyenne par Hubert dans ses publications est resté semble-t-il inopérant puisque non repris dans la mise en concurrence des travaux en cours. A moins que la gouvernance municipale ait l’intention de remettre en service une « voiture à commodités » ( Vespasienne )

L’installation de toilettes au parc public communal du Plantin ( étangs communaux ). Une vraie Arlésienne aussi cette affaire,  comme seule Festubert sait les faire. Voilà des années que l’Association de pêche, les pêcheurs et les promeneurs réclament l’installation de toilettes sur ce site. La piste de « toilettes sèches » ( réf: commune de Barlin ) a même été avancée par Hubert : rien n’y fait. A moins que la municipalité réfléchisse sur l’attributaire de la tâche régulière du « relevé des commissions » dans ces latrines contemporaines…

Enfin un quatrième lieu, lui aussi à roulettes, a trait au « JARDIN PARTAGÉ ». Si l’option de la rue de la Veine a du plomb dans l’aile, la position de repli nécessitera aussi la prise en compte de cette problématique sauf à le transférer à proximité d’un équipement public existant. Si ce transfert s’effectue à proximité de l’école ( ce qui serait heureux ), les devis en cours doivent alors concerner deux blocs sanitaires…

Un vrai sujet à Festubert qui mérite concertation. Évidemment Ô FAIT HUBERT est candidat pour participer, assis,  aux réflexions sur un sujet  aussi sérieux  !