Mais où sont passées les RELIGIEUSES de Festubert? Il se murmure que celui qui les dresse est monté dans le dernier PARIS-BREST…

Qu’elle était belle cette photo illustrant l’article paru dans l’Avenir de l’Artois le 12 décembre 2020 annonçant la réouverture avec trois mois de retard, de la boulangerie-pâtisserie communale. Les déclarations du maire au journaliste ne laissaient aucun doute quant aux ambitions municipales pour le fonctionnement de ce service public de proximité, allant même jusqu’à annoncer l’ouverture de la supérette communale en 2021…

Des PALETS DE DAMES aux belles MICHES serrées dans leur corset d’osier, le MERVEILLEUX récit qui s’annonçait avait des airs d’OPERA  tant l’allégresse dominait : comme un ALLELUIA lancé à SAINT-HONORE.

L’euphorie ÉCLAIR  a vite cédé la place au PAIN PERDU et au FINANCIER. Sans doute après quelques NAVETTES, CONVERSATIONS et MILLE-FEUILLES avec la mairie, la boulangerie s’est vite avérée un dépôt de pain. Le bel accord initial s’est vite transformé en un DIVORCE, tant les parties signataires ont été ÉCHAUDÉES.

Est-ce la peur du ÇA VA SE SAVOIR qu’un hologramme d’Hubert n’arrive pas à obtenir de renseignement de la mairie sur ce sujet, même en donnant sa LANGUE de CHAT ? Peut-être la mairie le prend-elle pour un GLAND en se disant qu’il l’aura dans le BABA ? FRIAND d’informations, ce satané CROQUANT DE CORDE serait même un vrai MACARON.

Au fil de ces quatorze mois d’existence, le four à pain n’a jamais vu la moindre ALLUMETTE et le pâtissier a semble-t-il pris la NAVETTE de MARSEILLE ou le dernier PARIS-BREST… Fini les éphémères TARTELETTES AUX POMMES à gros bord, les TARTELETTES AU CITRON .. . confectionnées sur place.

Cette pâtisserie communale ne sera-t-elle bientôt plus qu’un OUBLIÉ ou la population devra-t-elle se livrer au premier MENDIANT ou SACRISTAIN venu…?

Et dire que dans l’article de presse susvisé, le maire se voyait déjà en bâtisseur d’un PONT NEUF enjambant la Grand’rue, allant jusqu’à annoncer une ouverture de la supérette communale en 2021… Telle une vraie MERINGUE, il ne faudrait pas que celle-ci prenne des allures d’OMELETTE NORVÉGIENNE d’autant qu’elle inspire déjà le CHAUD-FROID.

La boulangerie-pâtisserie communale se voulait être l’AMBASSADEUR du village. Hubert ne peut que fonder l’espoir que la mairie ne se prenne pas le CHOU mais assurément elle est en train de manger son CHAPEAU DU CURÉ