Conseil municipal du 09 septembre 2021: quand une question anodine agit comme un révélateur…(II/II 4/7)

Une délibération qui ajoute inutilement une blessure  à la personne concernée. A l’acceptation de la contestation, la municipalité préfère l’humiliation !

Tout d’abord pour le respect de la délégation du conseil municipal au maire… ce qui est délégué ne peut être débattu par le conseil municipal. Au pire il ne pouvait s’agir que d’une décision du maire mais cette option est ici aussi contestable.
Ce remboursement forfaitaire d’assurance de 2 000 € n’est que l’application des clauses contractuelles et rien de plus ! Hubert n’ose imaginer la même méthodologie dans les grandes métropoles… Non vraiment, la ficelle est un peu grosse !

Au-delà de ces 2 000 €, cette affaire « POLAROID » révèle une froideur municipale, dénuée de tout sentiment et reconnaissance des services rendus par le concitoyen en cause pendant plus de trente ans. Un sparadrap de plus, après ceux de l’absence d’esprit philanthropique et le manque de muscle. Hubert espère que la municipalité fera tout pour que ce sombre triptyque ne se transforme en quarté ou pire en quinté…

Et ce n’est pas la poussive tentative de justification du maire qui aurait pu apaiser le débat : il s’est maladroitement raccroché à un argumentaire tiré des révisions ( passée et à venir ) du PLUi ( Plan Local d’Urbanisme intercommunal ) qui ne trompe personne…

 

A suivre